sa première note, la plus grave que puisse produire un biwa, est le fruit du hasard, un mouvement irréfléchi de sa main, mais sitot qu'elle raisonne dans le corps de l'instrument comme dans le sien, il sait le morceau qu'il va interpréter. Le début en est très lent, il possède des accents funèbres, avec se son grave qui revient régulièrement. Puis Sôzô se met à chanter d'une voix profonde et vibrante, soutenu par quelques rares notes de biwa, parfois délicates, parfois violentes.