"La véritable école du piquage à la française, c'est Biribi, l'instrument répressif de l'armée. En revenant décorés de la tête aux pieds, en exhibant les motifs, les bouzillés instaurèrent la tradition.
[...] De 1818 à 1939, 70% à 100% des détenus retournent dans leur foyer tatoués."