Le ton de l’annonce était une invitation en même temps qu’un avertissement ; une main tendue, l’autre levée en bouclier. Et qu’est-ce que c’était que cette histoire de démarcheurs ? Peut-être la personne craignait-elle une usurpation d’identité. Mais, dans ce cas, pourquoi donner un numéro de téléphone ? Pourquoi pas une simple adresse e-mail ou, pour ceux de la vieille école, carrément une boîte postale ? Quelque chose ne collait pas, et j’avais la très forte intuition d’être en face d’une arnaque