Comme toujours, on pleure de s'imaginer mourir, et de constater la tristesse de ses proches. Et surtout, cela de ses enfants. Une mère qui meurt, c'est une souffrance sans pareille: jamais ses enfants ne seront aimés par quelqu'un d'autre avec la même intensité. C'est ce qui rend la disparition d'une mère insupportable à elle-même.
Je ne peux tolérer que mes enfants soient moins aimés après ma mort.
Je déteste que mes livres ne me survivent pas.