Jusqu'à ce jour, je n'avais jamais vraiment connu la solitude. J'avais toujours eu mes livres, et Cynth avait toujours été là. Soudain mes pensées devenaient gigantesques dans ce minuscule logement, car personne n'était là pour les écouter et les domestiquer (...) Avez-vous un corps s'il n'y a personne pour le toucher ? (...)
Je ne savais pas comment être Odelle sans Cynth. (p. 56-57))