Le métro, ce sont aussi des odeurs : urine, transpiration du mois de mai, parfum bon marché, échauffement des rails, restes de nourriture, choses indéfinissables entre le vomi d’un reste de soirée et la crotte avariée d’un toutou faisandé ; et puis, par-dessus tout cela, un relent de lavande, comme un produit pour gigantesques toilettes qu’on aurait répandu dans les couloirs pour faire croire qu’ils sont nettoyés.