En atteignant le portail du terrain de la secte, il ressentit une curieuse impression de légèreté. Il se méfiait de ses humeurs comme de la peste, mais il jugea celle-ci parfaitement explicable. Depuis l’enfance il ne se rappelait pas avoir jamais été dispensé de ses multiples obligations, et ici en ce début d’après-midi d’un samedi de la fin octobre il n’avait pas davantage de devoirs à accomplir qu’un jaseur des cèdres, seulement tenu de se remplir le ventre avant de filer vers le sud.