"D'un bout à l'autre de Berlin, il régnait une puanteur intolérable, mélange d'asphalte fondu et d'ordures de toute sorte, sans compter l'odeur omniprésente de la chair brûlée..
En particulier dans les quartiers du centre,les gens restaient des jours entiers sans pouvoir sortir des abris ou des tunnels du métro........
Quelques courageux qui tentaient une sortie se protégeaient le visage contre les vapeurs corrosives des incendies et des bombes au phosphore avec des tissus humides..
La survie la plus élémentaire exigeait une lutte de tous les instants..".....