C’était voir les délégués du personnel raser les murs, de leurs affichages syndical ou CE, de leur permanence hebdomadaire à laquelle personne n’osait se rendre, tout comme eux n’osaient pas passer dans les bureaux à la recherche des revendications. C’était se dire « nous sommes en France, c’est pire ailleurs, tenons bon, encaissons, tenons bon encore un peu ».