Jocelyne Deraiche était caissière de supermarché lorsqu'elle fit la connaissance de Mesrine, en 1972, alors que celui-ci était en cavale.
Leur relation ne dura qu'un an, mais leur correspondance se poursuivit jusqu'en 1977 et la jeune maîtresse publia chez Stanké en 1978 un livre intitulé J'ai tant aimé Mesrine, relatant sa relation avec le criminel.
En 2010, elle a mis en vente à l’hôtel des ventes de Drouot (Paris) les centaines de lettres que lui a envoyées l’ex- « ennemi public numéro 1» quand il était en prison.
Malade et désargentée, elle vit au Québec, son pays de naissance.