"Oui, il me faudrait un bon cancer." Voilà ce que je me disais encore hier soir. C'est mauvais de ressasser encore et toujours les mêmes colères, ça pousse aux pires extrémités....
Changerait-il quelque chose ce cancer? M'offrirait-il la désinvolture du condamné, ce côté "rien à foutre", cette folie propre aux derniers jours qui dédouane de tout? Avec un pied dans la tombe, hésiterais-je encore un seul instant à tout plaquer?
Aujourd'hui vers midi, j'ai senti qu'un déclic s'était produit....