Ma joie est indescriptible quand je vois enfin la mer. Grise, houleuse, écumeuse, elle m’attend. J’enlève mes flip flops et cours vers elle, les cheveux au vent, les yeux fermés, les bras ouverts, comme si je désirais l’embrasser. Je crie :
— Libertéééééééééééééééééé…