Le diagnostic de burnout, un phénomène courant chez ceux qui côtoyaient la violence sur une base journalière, était malheureusement souvent utilisé par des supérieurs désireux de se débarrasser d’un élément que, personnellement, ils jugeaient «nuisible». Preuve que la sacro-sainte course à l’échelon supérieur fait des victimes, même au sein du corps policier.