Philippe a hérité de son père un petit domaine dont le revenu régulier, lorsqu'il était affermé, ne dépassait pas probablement 20000 livres par an. Ses acquisitions territoriales ne peuvent avoir augmenté ses revenus de plus de 20 %. Un tel revenu n'était pas assez substantiel pour mener une politique royale vigoureuse contre les grands barons et surtout contre Henri II.
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