Cela vint-il des arbres mouvants, de leur pelage ébouriffé, de ces ombres qui serpentaient sur la route ou de cette lumière visqueuse qui filtrait depuis ce ciel au bleu fade, mais Satiajit eut l’incontestable certitude qu’il y avait quelque chose de mal ici. Que quelque chose de terrible et terrifiant s’y terrait, tapi dans ce décor qui avait l’apparence du monde réel. De mal. Oui, il n’y avait pas d’autre mot.