Aux chênes de Glencree
Mes bras vous entourent, et je m'appuie
Sur vous, quand l'alouette chante
Dans l'air, et passent des taches d'or
Et des ombres vertes sur votre écorce.
Une saison viendra où vous tendrez
Des planches noires pour me couvrir :
Au mont Jérôme je dormirai, pauvre hère,
Avec les vers à tout jamais.