Nous pouvons nous libérer d'un poids en renonçant à l'idée qu'une vie pourrait être parfaite. Il ne s'agit pas de dire que nos vies sont nécessairement imparfaites : elles sont plus riches que toute idée de perfection. La vie bonne n'est pas la vous que vous auriez pu mener ou celle que vous pouvez encore mener, mais la vie qui est déjà la vôtre. C'est en cela que les chats peuvent être nos maîtres, car ils ne regrettent pas les vies qu'ils n'ont pas vécues. (p.114)