Sur Gor, l’esclave – n’était pas légalement une personne – n’a pas de nom en propre, tout comme sur Terre nos animaux domestiques qui ne sont pas des personnes devant la loi n’ont pas de nom. En fait, du point de vue goréen, une des choses les plus terribles de l’esclavage, c’est qu’on perd son nom. Ce nom que l’on a eu de naissance, par lequel on s’est appelé et connu, ce nom qui est une si grande part de la conception de soi, de sa véritable et intime identité – ce nom disparaît.