Ou a-t-on peur, si le droit de vote leur était reconnu, qu’elles révolutionnent l’État, qu’elles nous privent de l’une quelconque de nos grandes institutions, que nos lois dégénèrent ou que nous soyons d’une façon ou d’une autre moins bien gouvernés en conséquence des suffrages qu’elles auraient exprimés ? Personne, Monsieur, ne croit des choses pareilles.
Discours parlementaire du 20 mai 1867, p. 21