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Critiques de Jonathan Baranger (5)
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Chokolov City

Les débuts fracassants d’un romancier né en 1980. Baranger imagine la vie des émigrés bulgares à New York pendant les soixante premières années du XXe siècle.
Lien : https://next.liberation.fr/l..
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Le siècle de Hobbards

Une ville, un chapitre pour une décennie et des personnages qu'on retrouve de façon ponctuelle.

Pour être honnête j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans et à suivre les différentes histoires.



Dans ce roman on peut y trouver un peu de policier, un peu de drame, un peu de SF, un peu de romance. C'est un roman choral, une chronique sur une ville, une communauté du New Hampshire. On voit cette petite ville évoluer à travers les époques.



Je ne pourrais pas dire si j'ai aimé ou si je n'ai pas aimé. Par moment j'ai eu du mal à me situer par rapport aux personnages, par rapport aux histoires. J'en ai aimé certaines d'autres non. Je reste un peu dans le doute à la lecture de ce roman.

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Le siècle de Hobbards

L'idée de base est intéressante : suivre l'évolution d'une ville sur un siècle dont chaque chapitre renferme l'histoire d'une décennie.



Malheureusement, cette lecture a été laborieuse pour moi. L'écriture manque de fluidité, le langage est soutenu et les dialogues sont presque inexistants.



Les personnages sont nombreux, trop nombreux, et on s'y perd forcément. Aucun n'est vraiment approfondi donc l'attachement m'a été impossible.



Je pensais tellement aimer ce livre au vu du résumé mais je suis finalement déçue. Je m'attendais à autre chose, je pensais ressentir diverses émotions, apprécier certains personnages... Mais l'ennui a pris le pas sur le reste et j'en suis la première désolée.
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Don Creux est mort

Un roman qui flirte avec le gonzo et l'absurde, impossible à classer ou même à résumer. Pendant et après lecture un flottement demeure, au point que l'on n'est pas certain d'être bien au premier tome de cette série dans laquelle on s'évade et l'on s'égare du même coup. Outre le sentiment d'avoir manqué les premiers épisodes le lecteur restera sur sa faim en fermant ce livre, et espèrera que le suivant lui amènera quelques réponses sur les membres de cette mystérieuse organisation.
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Le siècle de Hobbards

Au premier abord, c’est la jolie couverture (peinture de Horace Pippin, Western Chester) ainsi que le résumé qui m’ont interpelée : suivre durant un siècle une petite ville et ses habitants du New Hampshire, Hobbards.

Chaque chapitre se rattache à une décennie (de 1908 à 1998) et peut être lu indépendamment.

Les textes s’apparentent à des chroniques ou à des nouvelles, composés d’intrigues et de narrateurs propres, de genres éclectiques (SF, policier, drame,..) et de personnages qui peuvent être nouveaux ou récurrents.



Même si dans l’ensemble j’ai apprécié ma lecture, je dois dire que celle-ci fut quelque laborieuse et cela pour plusieurs raisons. Tout d’abord, il y a énormément de personnages (plus d’une centaine !). Ce qui rend l’attachement difficile et on s’y perd quelquefois. (je vous invite fortement à vous reporter à la fin de l’ouvrage, où la liste des personnages et des narrateurs par chapitre est mentionnée).



L’auteur adapte son style à la décennie, ce qui pertinent, mais parfois, l’écriture est un peu trop « érudite ». Elle apporte de la lourdeur au récit et peut en altérer la fluidité de la lecture. La structuration également (un seul « bloc » par décennie) pouvait desservir le récit : la condensation des textes ne permettait pas toujours des temps de « respiration » dans la lecture.



Enfin, comme souvent dans les recueils de nouvelles, notre appréciation des textes reste inégales. 3 nouvelles parmi les 10 ont su retenir mon attention : la première, qui permet de planter le décor, une sur des sœurs bibliothécaires et une troisième, racontée par le majordome d’un milliardaire ruiné.
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