« La page est une surface sur laquelle je suis libre de placer tout signe que je considère traduire mon propos au plus près. Par conséquent, dans les limites des fonds et de la patience de mon imprimeur, j’ai recours à des techniques typographiques qui débordent les contraintes arbitraires du roman conventionnel. Réduire ces techniques à des gimmicks, refuser de les prendre au sérieux, c’est passer grossièrement à côté du sens. »