Quand on vit seul, on a tout le temps de réfléchir, on en parvient pas forcément à des conclusions, car la sagesse repose avant tout sur l’intelligence et la conscience de soi et non sur un trop plein de temps libre dont on ne sait que faire. En revanche on devient très fort dans l’art de s’empêtrer dans les méandres du désespoir en moitié moins de temps qu’il n’en faudrait à une personne normale.