Nous savons qu'on ne peut faire du grand art que dans un climat de liberté absolue. L'inverse est soumission, art conventionnel, donc faux. Et par conséquent il n'est pas utile à l'homme. Les rêves sont utiles parce qu'ils sont libres.
(Conversations avec Ernesto Sábato, qui nous a quitté le 30 avril 2011.)