Sans doute est-ce ce soir-là, en 1939, entre les deux guerres de mon adolescence, j'ai pu pour la première fois - il y en eut tant d'autres, depuis, et dans des circonstances tellement variées ! -, constater la sorte de bonheur, quasiment palpable, physique, qui suscite dans le genre humain le fait de chanter en chœur. Parce que le cœur y est, probablement, qu'on y met du cœur.
Adieu, vive clarté ...