A sept ans, âge auquel les enfants sont effrayés par les courses de taureaux, je suppliais mes oncles de m’emmener aux corridas. Ni la charge des picadors ni la mise à mort ne me faisaient baisser les yeux. Alors que mes camarades édifiaient des châteaux de sable sur la plage, j’impressionnais les adultes par ma maîtrise de la tauromachie.