Enfin, nous rentrons chez nous. Rentrer chez nous, que l’expression est belle. Revenir avec plaisir dans l’intimité de notre espace de vie, matérialisé, façonné, décoré selon nos aspirations affectives, esthétiques. Retrouver ce toit à l’écart d’autrui, bâti jour après jour, embelli mois après mois, égayé année après année par les cris allègre de nos enfants, de nos petits-enfants.