L'Amaru Cancha, palais de Huayna Capac, était une ruine et son fronton s'effritait. La rue était droite et nette, sans rigidité. Si elle n'avait pas été si étroite, on aurait pu distinguer les arêtes rectilignes des pierres. Elles ne grouillaient pas, elles ne parlaient pas, n'avaient pas la force énergétique de celles qui jouaient entre elles dans le mur de l'Inca Roca.