José Miguel Helfer Arguidas

Pachacutec commença les constructions du temple, du palais, de la place de cérémonie et des casernes pour 30 000 hommes, alros que Huayna Capac termina l'Aclla Wasi, les entrepôts (plus de 700À) et fortifia davantage le complexe.

L'importance de ce complexe était due à sa situation magnifique car elle permettait le contrôle des chemins qui se croisaient entre Cusco et Jauja (centre du Pérou), les accès à la côte (seigneurie de Chincha et de Pachacamac) et à la jungle (Huanta).

Déformation Crânienne

Les Paracas avaient pour habitude, comme le montrent le restes humains trouvés dans les cimetières, de déformer les crânes dès la naissance, en plaçant des bandes afin qu'ils grandissent selon la forme souhaitée. Les crânes déformés obéissaient probablement à un rituel religieux ou faisaient partie de leurs coutumes, et peut-être offraient-ils un certain prestige. Quel que fut le motif, les Paracas dominèrent les techniques de leur réalisation, en changeant l'axe du cerveau et en le faisant pousser de manière oblique et allongée.

Les combats de coqs furent introduit par les Espagnols. Il existe deux types de combats: avec le bec ou avec une lame. Dans le premier, les coqs portent un objet attaché à chaque patte (employé pour tuer l'adversaire), mais c'est le bec qui est utilisé pour soutenir l'adversaire. Dans le deuxième, on lui attache une lame à la patte gauche, laquelle sera utilisée comme arme mortelle. Le plus habile, et non forcément le plus fort, sera le gagnant.

Le nom d'origine quechua est "Qosqo" que les Espagnols transformèrent en Cusco car ils n'arrivaient pas à prononcer correctement la langue des Incas. Ce terme signifie "nombril du monde", car c'est le sens que les Incas voulurent donner à la cité en étendant leur territoire, au nord jusqu'au noeud de Pasto en Colombie, au sud jusqu'aux fleuves Maule et Bio Bio du Chili, ce qui comprend le nord de l'Argentine.

C'est pour cela que le Pérou fut le dernier lieu à être libéré du joug espagnol et, en plus, par des libérateurs étrangers: José de San Martin était argentin et Simon Bolivar vénézulien.