Mais le moraliste invincible et chrétien, est là toujours derrière le peintre et c'est lui qui éclaire le tableau... Puisque M. Joséphin Péladan avait voulu peindre une décadence, il devait être hardi avec les détails comme avec le sujet de son livre, et s'il eût reculé devant aucun d'eux, il et affaibli la conception de son roman.