Il ne suffisait pas de connaître le droit, il fallait aussi maîtriser la rhétorique. Dans une telle affaire, il s'agissait autant de persuader que de démontrer. C'était une question de présentation des preuves. Celui qui l'emportait n'était pas nécessairement celui qui détenait la vérité, mais celui qui parvenait à argumenter le mieux. ( p 364 )