Citation de Tancrede50
Postface
Ce livre parle de la cruauté, du désir d'infliger de la douleur et des souffrances à autrui. Dans une carrière de policier et dans la vie en général, on ne rencontre pas souvent des gens mauvais, maléfiques. […] Mais ce qui m'a le plus marqué reste néanmoins l'affaire dépeinte par Jon Gangdal dans "Quelqu'un va être tué" où l'on voit un garçon de quatorze ans tuer Alma Gabriela Knutsen, une camarade de son âge, d'une façon cruelle et calculatrice. J'avais rencontré Gabriela et son assassin en 2015, lors d'une visite d'écrivain dans l'école qu'ils fréquentaient tous les deux. Quand on m'y a réinvité l'année suivante, elle était morte, et ses parents m'ont raconté l'histoire d'un tueur redouté, mais trop jeune pour être poursuivi. Ce fut pour moi la confirmation tragique que le mal existe.
Ce livre parle de la cruauté, du désir d'infliger de la douleur et des souffrances à autrui. Dans une carrière de policier et dans la vie en général, on ne rencontre pas souvent des gens mauvais, maléfiques. […] Mais ce qui m'a le plus marqué reste néanmoins l'affaire dépeinte par Jon Gangdal dans "Quelqu'un va être tué" où l'on voit un garçon de quatorze ans tuer Alma Gabriela Knutsen, une camarade de son âge, d'une façon cruelle et calculatrice. J'avais rencontré Gabriela et son assassin en 2015, lors d'une visite d'écrivain dans l'école qu'ils fréquentaient tous les deux. Quand on m'y a réinvité l'année suivante, elle était morte, et ses parents m'ont raconté l'histoire d'un tueur redouté, mais trop jeune pour être poursuivi. Ce fut pour moi la confirmation tragique que le mal existe.
