(…) en Italie, la loyauté envers Constantinople demeura sous-jacente durant tout le VIe siècle et même après. L’influence de Byzance se propagea surtout grâce à Ravenne. La ville joua le rôle de catalyseur essentiel au développement d’une société qui finit par la dépasser. Ainsi la nouvelle Rome christianisée fut-elle une source d’inspiration constante et intégrée pour les puissances qui s’emparèrent du pouvoir en Occident.