La conscience, une des formes actives de la pensée, est donc, comme celle-ci, subordonnée, pour son épiphanie et son développement, aux-mêmes conditions de déterminisme. J'ai dit, dans un autre ouvrage, que la conscience du moi était parallèle à celle que l'on acquiert du monde, et que, si l'homme devait jamais connaître entièrement, il n'arriverait à cette hauteur de vue qu'après avoir épuisé l'étude de tout ce qui est hors de lui.