Le jour de la rentrée arriva. La maîtresse était en fait un homme. Il n’avait pas l’air si doux que son ancienne maîtresse, mais quand il prit Misséline par la main dès son arrivée pour l’accueillir, ce geste la rassura. Sa grande main, tenant la sienne, toute petite, était forte et apaisante à la fois.