Les histoires du village étaient toujours rocambolesques. Certaines étaient à se tordre de rire, d’autres étaient tristes à pleurer. Tous les sentiments étaient décrits dans cette longue lettre. Kaélisse avait fini sa lettre par une phrase écrite en majuscules :« Notre institutrice souhaite se retirer cette annÉe, elle se sent fatiguÉe. Nous n’avons pas de remplaçante au village. L’École va devoir fermer, ET LES ENFANTS DEVRONT ALLER DANS LE VILLAGE VOISIN. »