Quelque chose en moi résiste, je ne sais pas pourquoi. Je ne vais pas mourir, encore moins me tuer. Je ne souffre pas du tout, au contraire. Je suis comme un fruit mûr, pleine de moi-même, vivante, libre et ivre du vent de la forêt. Peut-être est-ce parce que « combattre » me manque moins que je ne l’aurais imaginé ?