Julie Rion

Je suis conquis par sa malice, si je t’attrape, je te coince dans un coin et tu ne verras pas les étoiles mais tu subiras l’enfer brûlant ! C’est à mon tour d’être pris à mon propre jeu, elle m’a allumé avec toute la subtilité qui la caractérise.

Ce que je ressens pour elle, je ne l’ai jamais connu auparavant. Je suis amoureux d’elle, de sa simplicité, de sa fragilité, de son manque de confiance, de la douceur de sa peau, de ses yeux renversants, de sa spontanéité, de son humilité, de sa joie de vivre, j’aime tout chez elle et surtout… je l’aime.

Une femme aime qu’on lui fasse l’amour mais parfois elle aime… qu’on la baise.

Une façon d’apprécier un plat, de percevoir toutes les saveurs, de savourer chaque aliment et de s’abandonner au désir que cela nous procure… c’est de manger les yeux bandés.

Un bon amant est à l’écoute de sa partenaire et devine instinctivement ce qu’elle désire.

Finalement, c’est la chose que j’aime le plus regarder et qui me rend heureuse, le voir écrire.

Tout le monde a le droit d’aimer et d’être aimé. L’amour n’a rien avoir avec l’intelligence. Mais bien avec les sentiments et les émotions qu’on ressent .

J’aime les gens bourrés d’imperfections. Ils sont bien plus intéressants.

...je ne me considère pas comme quelqu’un de parfait ni d’irréprochable. Je suis un être humain et je commets des erreurs.

C’est si facile de tirer à boulets rouges sur quelqu’un quand on ne le connaît pas. Encore des gens qui n’ont rien compris à la littérature. Avec tous ces renseignements, disons plutôt toutes ces attaques, les journalistes ne montrent qu’une partie de l’iceberg. La face exposée au monde, pas celle que j’ai entrevue depuis que j’ai rencontré Martin. Je ne fais plus attention à toute cette agitation people autour de la personnalité de Martin. Après tout, il en est lui-même responsable. Je me demande bien s’il ne joue pas avec, cela ne m’étonnerait pas.

Je perds pied avec lui, j’en perds même ma religion, mes principes et mes repères.

Tout ce que je sais à propos des sept péchés capitaux, c’est qu’un seul péché capital engendre les autres. Ces vices sont liés les uns aux autres, et chaque péché implique son contraire.
Sa personnalité reflète les sept péchés capitaux, tandis que moi, ce serait plutôt les sept vertus. Quoique légèrement améliorées compte tenu de notre époque et de notre style de vie, que sont la chasteté, la tempérance, la prodigalité, la charité, la modestie, le courage et l’humilité.

Une confiance que je place en vous et un principe d’entente cordiale. Je suis un personnage public, des journalistes n’attendent qu’une info croustillante pour faire les choux gras de la presse à scandale.

Je ne suis pas quelqu’un de facile à vivre, j’ai une addiction à l’alcool et ma personnalité reflète les sept péchés capitaux.

Elle est très jeune pour être dans le métier, enfin quand le talent est là. L’âge n’attend pas.

Je n’arrive pas à lâcher l’histoire, une fois qu’on est dedans, il est impossible d’en ressortir ! L’histoire d’amour est envoûtante, subtile, pas du tout vulgaire, j’adore ! Bravo ! C’est un véritable régal pour le lecteur. Si j’avais le livre papier, je l’aurais dévoré en une nuit !

On dit qu’une amitié entre un homme et une femme est impossible.

Ce qu’on apprend péniblement, se retient plus longtemps.

Ma mère a toujours tout fait pour nous. Elle nous a protégés, éduqués, elle était présente dans les bons moments comme dans les mauvais. Sans cesse à nous soutenir, à nous encourager.
...Une maman, on n’en a qu’une.

C’est très compliqué de se comporter comme des étrangers devant des proches.