Je me souviens d'un prof à la fac qui disait que les réalisateurs avaient tous leur "truc", leur obsession. Le "faux coupable" pour Hitchcock, par exemple. Pour Luntz, c'était créer du lien, faire tomber les murs. Plus je vois ses films, plus je me dis qu'il aimait profondément les gens. Ce qui ne l'a pas empêché de tomber dans l'oubli.