Ce n’est pas grave s’il n’y a pas de lendemain.
Je le réalise maintenant.
Tant pis s’il ne doit y avoir qu’une nuit. Qu’une minute. Qu’une seconde.
Rien que pour cet instant, tout ce que j’ai vécu, tout ce que je vivrai un jour, toutes les douleurs que je pourrai ressentir, auront valu la peine.