extrait de "Le miroir de bronze", récit de OH Jung-Hi in "Le chant du pèlerin".
"L'ombre, déjà, envahit le jardin ; l'obscurité s'approfondit, et les fleurs prennent une teinte plus foncée ; leurs corolles se ferment : seule une infime partie de leur coeur reste ouverte. Qu'il est lent, l'écoulement silencieux du temps dans l'abîme des calices entrouverts des fleurs."