Et puis, un soir de juin, tu griffonnes le nom de ton ex et : La demi-vie de l'amour est éternelle.
Tu couches par écrit d'autres petites choses. Puis tu vas te coucher.
Le lendemain, tu relis les nouvelles pages. Pour une fois tu n'as pas envie de les brûler ou d'abandonner définitivement l'écriture.
C'est un début, tu dis, seul dans une pièce.