La maison des Rokov parait sortie d'une de ces sagas familiales du XIXe siècle. Cela commence par des coupeurs de bourse et des arrivistes intrigants. Après quoi l'on a affaire à des messieurs dignes et puissants. Et cela se termine dans la débine et la froidure, avec des héritiers fous et décadents. Gorki a l'impression de débouler pile à la fin du roman, au dernier chapitre.