Je rendis les documents à John, qui les rangea en hâte avant d'ouvrir la porte de la morgue. Le bruit des néons ronronnant au plafond se mêlait au crissement de nos pieds sur le sol recouvert de lino. Des chariots d'instruments stérilisés entouraient les deux postes d'autopsie restés vacants de part et d'autre de la pièce. À l'arrière se trouvait la chambre froide - ou la cadavrothèque, comme je l'appelais.