La dynamique moderniste créée par la révolution et par une école performante a duré une dizaine d'années après 1962. Puis, elle s'est essouflée pour disparaître complètement devant les coups de boutoir d'un pouvoir autoritaire et du parti unique» (p 179),
«La saison des amours est l'été, et l'hiver est celle de la haine. Les saisons intermédiaires sont plus mitigées, l'une et l'autre jouant l'indifférence» (p 49),