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3.1/5 (sur 10 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) le : 30/10/1978
Biographie :

romancière et scénariste

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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
On dit qu'il ne faut jamais embaucher ses amis.
C'est un constat d'une grande sagesse. Ceux qui le formulent ont acquis l'art de discerner les vérités fondamentales de l'existence. Ou alors ils ont pu expérimenter le bien-fondé de cette affirmation.
Ce qui n'était pas le cas du comte d'Ashby.
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A l'âge de vingt ans, Mlle Margaret Babcock avait découvert quelques vérités fondamentales à son propre sujet.
Elle savait qu'elle était trop grande.
Elle savait qu'elle se sentait chez elle dans sa serre.
Elle savait qu'elle était - comme l'avait un jour formulé sa mère - une fleur tardive.
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- Où diable m'emmènes-tu ? marmonna Turner derrière Rhys, tandis que les deux hommes traversaient la cour du moulin.
- A ton avis ? répliqua son ami. J'ai promis à Helen de te ramener à la maison.
- Bonté divine, ma mère ne dirige pas ma vie !
- Tout semble démontrer le contraire.
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Ce soir, il avait trop à faire. Il devait garder un œil sur Palmer Blackwell. Il devait garder un œil sur sir Barty. Il devait garder un œil sur Letty.
Jamais il n'aurait assez d'yeux !
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Vous souhaiterez construire une vie à deux, non en renonçant à celle que vous avez déjà, mais en la transformant en quelque chose de plus vaste. Voilà pourquoi il est si important de choisir la bonne personne.
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Ned lui retourna son plus beau sourire.
Elle était plutôt jolie, cette Mme Rye. Elle se donnait un mal fou pour en imposer aux demoiselles, ou pour se valoriser à ses propres yeux, peut-être. En était-elle consciente ? Toujours est-il qu’elle avait fière allure et un sacré sens de la réplique.
A travers ses cils, elle lui décocha un regard adouci par la lumière des bougies. Clairement, il l’amusait.
Je vais peut-être m’en sortir facilement, après tout, pensa Ned, soulagé.
Il n’avait pas de temps à perdre. Tout doucement, il fit glisser son pied sous la table pour trouver celui de sa voisine. Il ne rencontra que ses jupons de soie.
Les bonnes apportèrent le plat suivant, porc et mouton rôtis, et Mme Rye oublia la présence de Ned. Doucement, celui-ci força le passage à travers les dentelles. Tout d’un coup, il rencontra enfin une cheville rebondie au-dessus d’un soulier… et la caressa de haut en bas.
– Monsieur Turner ! hurla-t-elle.
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Dans l’armée, j’avais pris l’habitude de cacher ma peur derrière mes vantardises, ma bonne humeur, et les parties de cartes avec Turner et le Dr Gray, un ami commun. Ça m’empêchait de penser aux entraînements et aux manœuvres. Je ne vivais que dans le moment présent. Le jeu m’a été d’un grand secours.
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Malgré l’impression qu’elle donnait généralement de laisser échapper toutes ses pensées sans retenue, en vérité, c’était l’inverse qui se produisait. Elle réfléchissait toujours à ses paroles. Avant de les prononcer. Pendant qu’elle les prononçait. Et, bien trop souvent, après qu’elle les avait prononcées, durant des heures. Aussi prépara-t-elle avec soin la réponse qu’elle allait exprimer.
Elle pouvait contester. Elle pouvait hausser les épaules et répondre qu’ils étaient correspondants scientifiques.
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Et en vérité, en tant que fille de scieur avec sa beauté pour toute dot, elle pouvait difficilement rêver d’un meilleur destin.
Toutefois, la désillusion, la cruelle irruption de la réalité dans le conte de fées, avait fait apparaître des petites marques rouges sur tout son corps. À tel point qu’elle avait envie de s’arracher la peau.
Konrad l’avait épousée pour une bonne raison. Non seulement elle était intelligente, mais elle était dotée d’un solide bon sens. Il lui avait alors enseigné à ignorer les ragots et à oublier sa déception, ainsi que ses espoirs. Et elle avait appris à garder son calme, même en face des rumeurs les plus méchantes. Un ouragan n’était rien de plus qu’un courant d’air, si l’on savait l’affronter. Rien ni personne ne pourrait la détruire.
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Quand on découvrait un nouvel environnement, on devait marcher sur un fil. Il ne fallait pas paraître inaccessible mais, en tant que comtesse de Churzy, elle était censée inspirer le respect. En effet, certains risquaient d’être déçus si elle manquait de prestance.
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