Katherine Pancol

J’étais apaisée et je renonçais...
Je renonçais et j’étais heureuse. Pleine et ronde de l’amour que l’on faisait et qui m’illuminais, faisait se retourner tous les hommes dans la rue, allumait des feux de convoitise sur mon passage, allongeait mes jambes, ma taille, ma joie de vivre, rendait mélancoliques mes meilleures amies, faisait de leurs amours des portions congrues et rassises.
Il aurait fallu que j’aie la sagesse de m’en tenir à ce bonheur-là.