Le nombre d’œuvres d’art abîmées ou perdues se monte désormais à mille trois cents. Il n’y a aucun espoir de sauver le Crucifix de Cimabue. Et des millions de livres sont couverts de boue.
Neuf des dix facultés de l’Université de Florence sont gravement endommagées et leurs bibliothèques anéanties.