- C'est très compliqué, tu ne voudrais pas de moi dans ta vie.
- Non. S'il te plait. Tu n'as pas besoin de faire ça. Restons-en là. Je sais comment ça se passe. Salut, et je te souhaite une bonne vie. Adios.
Nous nous fixons, et il murmure :
- Je n'aurais pas dû te toucher.
Il se dirige vers la porte. Je regarde son large dos tout en revêtant mon masque de courageuse. J'ai fait ça un million de fois. Je construis des murs autour des endroits où j'ai mal, pour ne plus avoir mal du tout. Plus du tout.