Si j'écris ces lignes, c'est peut-être beaucoup pour moi-même. Je risque de te perturber inutilement alors que tu t'es déjà suffisamment battu... Ton corps et ton esprit ont besoin de guérir. Mais tu peux être sûr d'une chose. J'ai été très heureux quand tu t'es réveillé. Après ces 15 longues années, j'en ai pleuré de joie. Te savoir à nouveau parmi les vivants m'a comblé de bonheur. Alors bon retour parmi nous, Satoru !
Ton ami, Kenya Kobayashi.