Keith Parkinson

Ce tome est et restera pour moi le meilleur des onze tomes que compose la série. Tous les éléments sont regroupés pour passer des heures à se laisser enivrer par ces aventures trépidantes.



Après une fin de tome 1 presque idyllique ( Darken Rahl est mort, les boîtes d'Orden refermées, Richard à réussi à déjouer le pouvoir de Kahlan, leur permettant ainsi de vivre leur amour au grand jour... bref tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes!), nous nous demandons, nous lecteur, comment une nouvelle intrigue va se mettre en place, mais surtout si cette dernière va fonctionner autant que la première.

Par bonheur, c'est le cas, et Terry Goodkind nous offre ici une suite digne de ce nom.



ATTENTION SPOILER!!!



Au commencement, nous sommes heureux de revoir nos deux héros dans un climat paisible, loin de la torture, de la magie et des monstres.

Cependant, comme tout histoire qui se respecte, un élément perturbateur vient briser ces petits moments de bonheur.

S'ensuit ainsi le moment le plus déchirant du livre, là ou Kahlan fait croire à Richard qu'elle ne l'aime pas afin de le sauver de son don.

Tout au long du livre, Richard croira dur comme fer d'avoir perdu l'amour de la mère inquisitrice, et nous lecteur, nous ne pouvons que compatir à sa peine et sa colère.

Tout ceci nous conduit à un des meilleurs passages de la série : le moment où Richard provoque délibérément des centaines de sœurs de la lumière (soit des magiciennes qui peuvent carboniser un homme en un simple froncement de sourcil). Juste excellent!

Quant au palais des prophètes, ce lieu me fait rêver... Un grand palais situé sur une île avec des magiciennes chargées de former des sorciers...ou de les tuer! En effet, la conspiration nous fait douter de tout le monde au palais, nous rendant même plus paranoïaque que Richard lui-même.

Bien sûr, certains diront que l'éternel clivage Ombre et Lumière, Gardien du royaume des morts ou Créateur du monde des vivants, est assez cliché, mais ça ne m'a pas du tout gêné.

Après tout, n'est-ce pas ça la fantasy? Des gentils qui se battent contre des méchants (pour caricaturer un peu)?

Enfin j'aimerai parler aussi de la bataille menée par Kahlan, que je trouve juste extrêmement originale, bien détaillée et TRÈS bien écrite. J'aime beaucoup les méthodes non-conventionnelles que l'héroïne utilise pour venir à bout d'une force dix fois supérieure en nombre (chevaucher nue et seule au milieu de millier d'hommes, il fallait oser le faire quand même!).



Bref, j'avais beaucoup de choses à dire sur le tome 2 car c'est incontestablement mon préféré. Non content d'avoir trouvé une nouvelle intrigue, Terry Goodkind a réussi avec brio un miracle de la littérature (et même du cinéma) : faire une suite meilleure que le premier tome.

Cela aurait pu être mieux...



Nous démarrons sur des chapeaux de roues avec ce second tome. Dès le début, les ennuis s'ammoncellent. Comme beaucoup d’éléments sont à suivre, on le fait un peu difficilement. Par contre, j’ai beaucoup aimé cette nouvelle facette de l’histoire : l’amour entre Richard et Kahlan et leur combat commun, eux contre le monde entier. Cela ajoute un côté romantique qui est très appréciable.



A chaque instant, l’auteur nous donne envie d’en savoir plus. Il insère dans l'intrigue générale, de nombreuses étapes, des minis histoires, des épreuves qui rendent le rythme encore plus entraînant. Et nous avons toujours pendant ces quêtes, ces réflexions inlassables que l'on ne peut s'empêcher de nous approprier, nous sollicitant sans cesse pour comprendre, avec le personnage, le monde dans lequel il évolue.



L’histoire est écrite de façon à ce qu’on ne perde pas une miette des actions perpétrées. Ce qui fait que chaque détail nous est offert. J’ai apprécié cette forme d’écriture qui la rend la lecture de ce roman très addicitive. Un vrai page turner. Malgré la complexité, le nombre d'intrigues et de personnages. Cela donne une dynamique intéressante par rapport à la quête centrale. Et surtout j'adore le fait de devoir se concentrer suffisamment pour ne pas perdre le fil.



Par contre point négatif : la fin. Elle est, par rapport à l’intégralité du livre, beaucoup trop expédiée. Vu les quêtes apportées lors de ce tome 2 (et 1200 pages tout de même), j’aurais voulu voir un vrai combat épique, de ceux qui laissent un sentiment de justice, et où l’on se dit que tout est rentré dans l’ordre. Elle me laisse du coup avec un sentiment négatif, qui m’a un peu gâché ma lecture toute entière.



2,8/5
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Toujours très bien mené, ce second récit nous fait parcourir les terres du milieu ( ne pas voir de ressemblance avec un certain hobbit ) pour nous conduire dans l'ancien monde à la suite du héros, Richard. Séparé de celle qu'il aime, ce volume comporte donc beaucoup moins de romance, même si toutes les femmes qu'il croise tombent bizarrement à ses pieds. Sa quête est d'ailleurs parsemée de drôleries et manque parfois de sérieux malgré la gravité de la situation. Quand à sa chère et tendre, ses aventures ne manquent pas de piquants et sont parfois beaucoup plus exaltante que celle de son homme, sans parler de leurs compagnons de route dont certains sont franchement désopilant. Bref, c'est un bon moment de lecture.

A première vue, ce tome a un vrai potentiel. Mais en fait, non. Dans le premier tome, j'avais déjà évoqué des longueurs dans l'histoire. Ici, c'est encore pire. Sur les 800 et quelques pages que j'ai lu, il y en a bien la moitié qui ne servent à rien. J'avais hâte de lire le tome 2 mais, j'avoue être un peu déçue. Heureusement qu'il y a quelques scènes d'action un peu tout le long du livre. Plus d'une fois, j'ai eu envie d'abandonner. Pour le moment, je n'ai pas envie de poursuivre cette saga.
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Au début, le fait de savoir tous nos amis éparpillés m'a vraiment fait un drôle d'effet. Vaguement déçue, c'est donc sans grand enthousiasme que j'ai attaqué ce second volume. Grossière erreur, il est à nouveau géniallissime !



J'ai retrouvé toute la magie du premier tome, aussi bien dans les lieux qu'on nous présente que dans les personnages hauts en couleurs qui interviennent dans le parcours de Richard, Kahlan ou Zedd. On sent une telle cohérence dans tout ce qui se passe, rapport au précédent, un monde en construction, une histoire qu'on raconte, mais pas de celles qu'on invente, de celles qui ont vraiment eu lieu.



Magique. A lire, absolument !

Challenge Pavés 2015/2016

Challenge MULTI-DEFIS 2016

Item : Un livre de plus de 700 pages (836 pages)



"La pierre des larmes" fut une véritable révélation :

1) Je déteste Richard Cypher/Rahl.

2) Le style de Terry Goodkind est bardant.

3) J'ai bien changé…



Près de 840 pages, un véritable pavé ! Déjà bien lourd dans sa forme, il l'est également dans son contenu. Il faut dire que le personnage principal, à savoir le fameux Sourcier, est un homme sexy doté d'un cerveau pas plus gros qu'un petit pois. D'homme viril, brave et puissant lorsqu'il s'agit d'accomplir sa mission, il se transforme en vilain petit garnement prépubère. Tout simplement insupportable ! Avec un tel personnage, comment ne pas éviter les interminables chapitres que l'on pourrait facilement résumer à des joutes verbales puériles du genre :

" - Richard, tu as le don.

- Non j'ai pas le don !

- Si, tu as le don !

- Non, même pas vrai ! T'es qu'une menteuse !"



Naïf, aveugle, buté, sourd, irréfléchi, stupide, la liste des défauts de Richard est longue. Il a bon cœur, mais ça ne rattrape pas tout le reste. Je comprends bien qu'il s'agit là d'une saga initiatique et que Richard doit apprendre, pendant longtemps, pour devenir l'exceptionnel messie chargé de tout régler. Mais était-il nécessaire de démarrer avec un personnage aussi...con ? Son apprentissage doit-il constamment et nécessairement se faire au travers d'erreurs qu'il commet ? Est-ce si dur pour lui de méditer deux minutes sur "la deuxième leçon du sorcier" avant de la violer trois pages plus tard ?

Au fond, je soupçonne Terry Goodkind d'avoir succomber à une facilité : créer un personnage à l'intelligence limitée pour caresser ses lecteurs dans le sens du poil : "Oui mon petit, tu avais bien deviné que tout ce se passerait comme ça. Bravo, tu es doué !". Eh bien moi, ça m'agace !



Heureusement, Kahlan, louée soit la Mère Inquisitrice, relève le niveau. Archétype de la femme forte, elle se peaufine assez vite au travers de ses doutes et de ses faiblesses internes. Femme dévouée prête à tous les sacrifices pour sauver ceux qu'elle aime, fine stratège, guerrière implacable, inquisitrice désabusée, elle multiplie les visages pour notre plus grand bonheur. Peut-être lui reprocherais-je simplement son cœur de guimauve en présence de Richard où elle devient digne des plus vieux soap opera et telenovela.

Le casting de personnages intéressants capables d'évoluer (bien plus rapidement que Richard) s'étend à Chandalen, sœur Verna, Gratch (oui même lui !) et j'en passe quelques-un(e)s.



Venons-en au style. Dans l'ensemble, l'écriture n'est pas si mal. Ça ne fait pas mal aux yeux c'est un juste un chouïa inégal avec de brusques envolées lyriques qui détonnent légèrement d'avec le reste. Mon plus gros reproche concernant la plume de Terry Goodkind, c'est sa tendance à la répétition. Supporter l'incessant rabâchage de nos héros sous prétexte qu'ils croisent un personnage qui n'a pas eu vent des dernières news c'est vite lassant. Au bout d'un moment la crédibilité du procédé laisse place à du vulgaire remplissage. Je sais pas moi, faites un texto groupé !

Et je ne reparle pas (je vais me gêner !) des trop nombreuses querelles et lamentations de Richard. Je pourrais à nouveau caricaturer d'autres séquences mais ce serait faire preuve d'un mauvais fond (et je ne laisserai pas le sadisme de Goodkind déteindre sur moi ! Non, jamais !).



A plusieurs reprises, je me suis demandé si Terry Goodkind n'avait pas quelques problèmes psychiques à moins qu'il ne partage trop facilement quelques-uns de ses fantasmes avec son lectorat. Après les Mord-Siths SM, voilà les sœurs lubriques ! Aurons-nous droit aux infirmières barbares dans le troisième opus ? Bon, je reconnais que cette fois j'exagère un peu, l'aspect "lubrique" des Sœurs de la Lumière s'estompe petit-à-petit notamment grâce à Verna et la Dame Abbesse.

En revanche, je n'en démordrais pas, le viol est bien trop prégnant ici. Si vous êtes une femme dans cet univers, vous avez 70 à 80% de risque d'y passer un jour ! En fin de compte, les "méchants" ne se cassent pas la tête : "les hommes on les étripe, les femmes, on les viole puis on les étripe". C'est simple, efficace et ça permet de faire des milliers de victimes inutiles dans un roman de 836 pages juste histoire qu'il soit "sombre". Personnellement, je trouve cette violence omniprésente discutable et simpliste. De la violence, d'accord, mais un peu de profondeur et de variations ne font pas de mal. Les automates configurés en mode "je viole, j'étripe, je viole, j'étripe", mouais quoi !



Étrangement, le premier tome m'avait laissé un très bon souvenir. Celui-ci sera en demi-teinte. Partagé entre l'enthousiasme et l'agacement, l'intérêt et l'ennui, ce livre aura pesé de tout son poids pendant un long mois. Pas si étonnant quand on regarde bien la construction de l'intrigue qui oscille entre scènes mémorables et scènes redondantes ou clichées, personnages captivants et héros tête-à-claque, développement interminable des intrigues et conclusion abruptes de celles-ci dans les derniers chapitres, violences prépondérantes et fin à la soupe Disney.

Je suis assez fier d'avoir surmonter les longueurs sans sauter de pages mais je n'arrive pas à me départir d'une certaine déception. "Le Sang de la Déchirure" est déjà couvert de poussière dans ma PAL, je le lirais donc. Pour le reste de la saga, le doute m'envahit subitement...

J'ai attendu plus d'un an pour découvrir la suite de La première leçon du sorcier, deuxième tome de la célèbre saga L'Épée de vérité de Terry Goodkind. J'avais beaucoup aimé le premier tome, mon avis est un peu plus mitigé concernant la suite des aventures de Richard le Sourcier.



Pourquoi un avis plus mitigé ? À cause de Richard pour commencer, que je trouve rageant et puéril. À cause de sa relation avec Kahlan ensuite, que je trouve niaise à souhait. À cause des nombreuses similitudes avec mes grandes sagas favorites, comme par exemple les Sœurs de la Lumière / Sœurs de l'ombre, qui sont une bien pâle copie des Aes Sedai de Robert Jordan (ça m'a d'ailleurs donné envie de me replonger dans La Roue du temps...). Voilà pourquoi.



Mais malgré ces petits désagréments, j'ai rapidement été entraînée par le récit. J'ai adoré les tactiques militaires de Kahlan, astucieuses, dangereuses et culottées, nous offrant ainsi une bataille haletante et mémorable contre l'Ordre Impérial. J'ai adoré découvrir les différents peuples que Richard rencontre au long de son périple, et son apprentissage de cette magie particulière endormie au fond de lui. J'ai adoré suivre Zedd et Adie dans la quête qui va les priver de tout ce qu'ils sont. Et j'ai retrouvé ce qui m'avait tant plu au premier abord, à savoir une aventure pleine de rebondissements, d'action, de magie, une écriture prenante et accrocheuse, du divertissement à chaque page...



Alors oui il y a des points négatifs, mais j'ai quand même passé un très bon moment de lecture, et c'est ce qui compte, non ?



A bientôt pour le troisième tome, donc.

Voici le second opus de la saga de l'Epée de Vérité - 835 pages, encore plus que le précédent d'après Amazon.fr.

Richard et Kahlan se sont enfin avoué leur amour, mais alors qu'il pensait souffler après avoir défait Darken Rahl, voilà qu'une nouvelle menace pèse sur eux. Richard a le Don, et celui-ci pourrait le tuer si il n'apprend pas à le contrôler.

De mystérieuse sœurs, les Sœurs de la lumière prétendent pouvoir lui venir en aide, mais en contre-partie il devra se soumettre et être à leur merci. Or Richard à jurer que jamais plus cela ne lui arriverait. Kahlan, le cœur brisé, le contraindra à suivre Sœur Verna, quitte à le perdre pour toujours.

Les prophéties sont en marches, et certaines personnes sont prêtes à tout pour que tout se déroule selon leurs voeux.

Prisonnier, Richard va devoir réussir à distinguer ses alliés de ses ennemis et vite, avant qu'une menace plus terrible encore ne s'abatte sur le Monde.



Pendant ce temps, la Mère Inquisitrice - désespérée - se lance dans la guerre pour sauver les Contrées tandis que Zedd poursuit également ses propres buts et tente de déchiffrer les prophéties pour aider et sauver son petit-fils.



Un peu moins bon que le précédent, avec une multitude de personnages qui apparaissent, ce tome reste riche et intéressant. Pour ceux qui aime les grandes fresques, on va être servi.

Loin de Gemmell, d'accord, mais agréable tout de même.
Lien : http://nyx-shadow.blogspot.f..

L'épée de vérité tome 2:



Richard, Zedd et Kahlan croyaient en avoir fini avec les ténèbres. Mais leur victoire sur le tyran Darken Rahl a des conséquences terribles qu'ils ne pouvaient imaginer. Le Voile qui sépare le monde des vivants et le royaume des morts s'est déchiré.



Dans ce tome, nous allons à nouveau suivre le périple de Richard, Kahlan, Zedd, ( et Chase ) en passant de chapitre en chapitre, d'une personne à l'autre.

Darken rahl est mort, mais un tout autre "monstre" cherche à passer du royaume des morts à travers le voile pour aller dans celui des vivants.



On va y découvrir des tribus, et des personnages totalement incongrus.

Beaucoup de séparation, de violence, pas mal de guerre et SURTOUT , de gros moment de SUSPENS, Beaucoup de personnage se retrouve coincé et j'ai adoré vivre cette aventure, terry goodkind à vraiment maitrisé son suspens et ses retournements de situations ( surtout sur des personnes que l'ont pensait gentil(les).



Bref j'attaque la suite.

Un bon livre. J'ai bien aimé le fait que tout ressemble à un jeu au règles compliqués entre le bien et le mal. Là encore on à pas le temps de s'ennuyer.

ATTENTION : risque de spoiler si vous n’avez pas lu le tome1 !



De retour dans le monde de Richard Cypher avec grand plaisir ! Après sa victoire sur Darken Rahl, il pensait pouvoir enfin se la couler douce et roucouler en paix avec Kahlan.

Malheureusement, comme dirait Zedd « rien n’est jamais simple ».



En mettant fin aux agissements de Darken Rahl, il semblerait que notre sourcier ait fait plus de mal que de bien. Le fait d’ouvrir la mauvaise boîte d’Orden à déchiré le voile qui sépare le monde des vivants de celui des morts. Et le gardien du royaume des morts compte bien profiter de cette occasion pour mettre main basse sur les 2 mondes et faire régner le chao.



Richard va devoir trouver le moyen de refermer le voile tout un gérant un nouveau problème : de violentes migraines menacent de l’envoyer rencontrer le gardien plus tôt que prévu. Ces maux de têtes sont la douloureuse manifestation du « don ». Même s’il le nie, richard a hérité des pouvoirs de sorcier et s’il n’apprend pas très vite à les maîtriser il mourra.



Bref, les problèmes s’accumulent et notre héros va devoir faire face à de nouveaux dangers et à d’anciennes peurs.



Dans ce 2e opus les trois protagonistes vont être obligés d’évoluer chacun de leur côté. Ce qui nous permet, à nous lecteurs, de les découvrir un peu plus en profondeur.

Richard en apprend plus sur ses origines et sur lui-même. Kahlan joue son rôle de mère Inquisitrice à 100% quitte à se retrouver dans une très mauvaise posture.

Zedd lui, va tenter d’aider richard à sa façon avec l’aide de la surprenante Adie, la femme aux ossements.



Bon pour résumer malgré quelques longueurs par moment, j’ai adoré ce tome. J’étais un peu déçue au début de voir Richard, Zedd et Kahlan partir chacun de leur côté mais finalement c’était une bonne chose car j’ai eu le plaisir de les voir évoluer chacun dans leur univers.



Ne me reste plus qu’une chose à ajouter, foncez acheter ce livre !!!

J'ai commencé ma lecture du tome 2 assez longtemps après avoir lu le tome 1... Et j'ai eu du mal à me rappeler les détails du premier tome en plongeant dans ce nouveau tome. Mais pas de panique, car Terry Goodkind nous rappelle sans lourdeur les événements du tome précédent. Ce second tome s'enchaîne donc parfaitement et on est tout de suite replongés dans l'univers et l'histoire de Richard et Kahlan.

Nouveau tome, nouvelle intrigue, nouveaux enjeux. Nouveaux personnages également. On fait la connaissance d'une communauté qui va devenir très importante dans la série : les Sœurs de la Lumière. Richard est contraint de se rendre au Palais des Prophètes afin d'apprendre à maîtriser son don.

Si le premier tome "tenait" en lui seul, le second tome est un déclencheur qui entraînera toute une série de chamboulements au fil de la série. Il possède également son intrigue interne - chose agréable chez Goodkind qui ficelle chaque tome comme une intrigue en elle-même en plus de poursuivre son histoire le long d'un fil rouge. Cela lui permet d'approfondir les personnages récurrents - qu'ils soient bons ou mauvais - tout en faisant intervenir une panoplie de nouveaux personnages qui viennent pimenter l'intrigue.

Ce second tome poursuit donc le premier avec la même intensité et le même style agréable à suivre. Alors forcément, on meurt d'envie de lire le troisième...

Je ne dirais pas grand chose car à la lecture de ce tome, je n'avais pas de blog pour y laisser mes impressions. Je me suis promis de relire toute la saga lorsque j'aurais tous les tomes et pour l'heure, j'en suis encore loin puisque je me prépare à accueillir dans l'une de mes bibliothèques, les piliers de la création.



Sinon, tout comme le premier tome, celui-ci est un coup de coeur. De plus, ma pote commence à arriver *________*

Je déplore juste cette scène de viol car je n'arrive pas à comprendre ce besoin qu'a l'auteur d'apporter une scène hyper violente à chacun de ses tomes. D'ailleurs, plus on avance dans l'histoire et plus ce type de passage devient vraiment dérangeant. C'est dommage.

On peut très bien écrire de longues sagas sans pour autant avoir besoin de rédiger ces instants perturbants.



Néanmoins, ce n'est pas cela qui m'a empêché de poursuivre ma lecture de cette série.

Bien plus épais que le 1er tome, La Pierre des Larmes est bien plus riche à lire. On passe d'événement en évènement qui nous tiennent en haleine dans des lieux et contrées si différentes qu'on a l'impression de voyager avec Richard, Kahlan, Zedd et Adie.

On découvre un univers riche en détails, en codification. Je trouve mérité la comparaison de Terry Goodkind à J.R.R. Tolkien car il a su comme lui créé un Univers. Certes il n'a pas inventé les Mages et les Sorciers mais à su y apporter sa propre touche.

Sans hésiter, je continuerais de lire la Saga de l'Epée de Verité

Quand on commence ce deuxième roman, on se rend compte que l'action fait suite au premier volume. Même si Darken Rahl est mort les problèmes ne font que commencer et les personnages ont peu de répit.



L'action va se scinder en trois, ce qui va la ralentir. En effet le roman est très long à démarrer, ç a ne s'accélère qu'à partir de la 650° page (il y en a 755).



Après avoir été désigné comme Sorcier de Vérité, voilà que Richard doit se faire former comme magicien. Il va alors se retrouver au contact des Soeurs de Lumière, congrégation de femmes qui forment les magiciens et qui vénèrent le Créateur. Je trouve trop conformiste la présence d'une telle entité.



J'essaie d'éviter la déception en me disant que ce n'est qu'un épisode de transition.
Lien : http://kulturenblog.over-blo..

Ce deuxième tome ne fait pas défaut au premier ou même à la préquelle. Je lirais avec beaucoup de plaisir le tome 3.
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Ce tome est vraiment aussi bien que le précédent. Alors que tout semblait parfait au dernier tome, l'aventure continue. L'auteur aurait presque pu s’arrêter a un tome mais heureusement qu'il a continué! Quel récit! A ne pas pouvoir en sortir aussi facilement que cela! Bref, je le conseille à tous ceux qui aiment le mélange fantastique et aventure !

Après le coup de cœur pour le tome 1, je trouve celui-ci un peu en dessous mais extrêmement bien malgré tout.

Ce second opus démarre quelques minutes après les évènements de la fin du premier tome, c’était donc tout frais dans ma tête et encore plus appréciable. Une fois encore, cela part sur les chapeaux de roues, une nouvelle intrigue et c’est reparti pour la suite de l’aventure dans les Terres du milieu.

Si j’ai particulièrement aimé le tour qu’a pris l’histoire et l’évolution du personnage de Kahlan notamment lors d’une bataille épique xx j’ai en revanche, trouvé un peu de redondance avec la fin du premier : ce qui arrive à Richard et un peu copié-collé de la fin de la première leçon du sorcier (difficile de vous faire comprendre en évitant le spoil ^^) et c’est bien dommage. Malgré tout, j’aime toujours autant ce personnage, on découvre ici encore d’autres facettes sur lui, ce qui ne fait que renforcer l’attrait et la force de ce héros. Même si, soyons clair, il a eu un petit côté Rand Al Thor très déplaisant mais heureusement bien vite oublié 😉 Virginie aime Riiiiiichard (dédicace à Gratch

C'est un début plutôt laborieux et pas spécialement attrayant qui nous attend, cependant à un peu plus de la moitié du roman cela commence à devenir vraiment intéressant. Certains aspects sont vraiment prévisibles (et j'avoue avoir eu parois très envie de gifler Richard), mais dans l'ensemble c'est une histoire très prenante comme celle du premier tome.

Les personnages sont assez attachants, plein de caractère et touchant, je pense notamment à Kalhan et à Adie.

Par contre, j'ai trouvé qu'il y avait quand même pas mal de violences sexuelles dans ce tome, ce qui est plutôt glauque et j'avoue que parfois c'était vraiment "malaisant" à bien choisir je préfère les combats sanglants que ses passages ahah. Vraiment la violence m'a sidéré, le passage ou Kalhan découvre la ville de sa soeur m'a complètement retourné l'estomac, vraiment c'est juste abominable..

La deuxième leçon du sorcier est aussi intéressante que la première et au final ça permet de réfléchir un tant soit peu avant de faire quelque chose.

Au final un bon livre, même si le premier était beaucoup mieux